Écouter avec bienveillance et patience

Bon sang mais c'est bien sûr !

Fallait-il que je me sente personnellement atteinte par sa colère pour oublier ce que je connais bien : face à une telle limite, la colère ne pouvait qu'être énorme ; toute cette colère, il fallait bien qu'elle l'exprime ; autant de colère contre elle, cela aurait fait beaucoup trop...

Et mon rôle à moi était d'accueillir patiemment.

Oui mais voilà, pour accueillir il me fallait retrouver tout mon détachement par rapport à la situation. Sa réponse me l'a permis.

Vous reste-t-il une grosse colère, encore vive ou très enfouie ?

Je vous souhaite de trouver quelqu'un pour l'accueillir.

Paule Terreaux

J'en ai marre de toute cette colère.