S'offrir une thérapie 

Jeune mère, lorsque j'ai perçu qu'un de mes enfants était en difficulté, j'ai choisi de l'emmener voir quelqu’un, comme on dit pudiquement. C'est ainsi que j'ai découvert avec émerveillement les bénéfices de la kinésiologie. 

Je suis pleine de gratitude pour cette découverte qui a immédiatement suscité en moi un élan, une évidence : j'en veux pour moi ! 

J’en veux de quoi ? 

Je veux me donner de tels moyens pour être heureuse. En effet, je sens bien qu'il y a en moi des freins. Ça m'intéresse d'y travailler, de chercher à m'en libérer pour devenir pleinement moi. 

Les moyens de construire son bonheur 

Et c'est comme cela que je suis régulièrement allée voir Martine. C'est l'enthousiasme qui m'a motivée et j'ai récolté beaucoup de joie de toutes ces séances. J'étais loin d'imaginer qu'un jour, en me retournant, je compterais des années de thérapie.

Avant cela, j'avais déjà souhaité me donner des moyens pour mon couple, consciente que l'amour dans la durée ne coule pas de source, qu'il faut le construire à deux. Stéphane m'avait suivie dans cette idée. 

C'est ainsi que, depuis des années, nous nous appliquons au sein de l'association Vivre et Aimer, à relire ce qui se joue dans notre relation, à mettre de la conscience sur notre émotionnel, à prendre la responsabilité de nos besoins personnels et à décider de petits pas pour mieux nous aimer. 

Une motivation pour faire le pas

Au départ, c'est le désir qui a suscité ces démarches personnelle et en couple. Toutefois, par la suite, j'ai aussi éprouvé le besoin d'aide pour passer des moments plus difficiles. J'avais la chance d'être déjà accompagnée ! 

Pour la plupart des gens, c'est plutôt le besoin d'aide qui motive le démarrage d'une psychothérapie et il faut du courage ! Mais avec le temps, beaucoup prennent goût à être accompagnés et à se voir progresser vers le bonheur souhaité. 

Alors la thérapie dans quel but ? 

Vers la vraie joie ! 

Nous sommes capables de constater autour de nous des personnes qui sont plus dans un fonctionnement automatique, en mode survie, que pleinement épanouies. C'est plus facile à reconnaître chez les autres. 

Si nous voulons bien faire la vérité sur nous-même, nous identifierons des insatisfactions récurrentes, des manques de liberté regrettables, des compulsions embarrassantes... 

Avec la thérapie on peut choisir de se mettre en chemin vers la capacité de vivre plus pleinement, de choisir sa vie et d'oser être vraiment soi-même. 

Et vous, à quand remonte votre dernière impression de vivre la vraie joie !