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Lorsque les gens prennent des nouvelles de mon activité professionnelle, ils me demandent souvent quel est mon périmètre géographique.
Je comprends qu'ils veulent savoir jusqu'où je vais.
Un travail sur soi commence par un déplacement
La question ne s'est pas encore vraiment posée pour moi.
De fait, puisque je fais surtout de l'accompagnement individuel, ce sont plutôt les gens qui viennent à moi. Symboliquement c'est important que ce soit eux qui se déplacent.
Je n'élude pas pour autant la question : mes clients viennent de toute la Lorraine. Ils font parfois plus d'une heure de route.
Certains viennent même de plus loin car les entreprises qui me font confiance m'adressent des personnes de tout le Grand Est.
Mon périmètre ne s'arrête pas là, car mes collègues et amis de longue date pensent à moi pour leurs enfants ou les enfants de leurs amis.
Alors nous utilisons les moyens modernes pour travailler à distance, d'une ville de France à l'autre et même de Berlin à Pont-à-Mousson !
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Ceux qui font de la radio le savent : le sourire s'entend.
Soigner sa communication
C'est donc une habitude à prendre : avant de passer à l'antenne, accrocher son sourire. Ce qui est agréable, c'est qu'en quittant l'antenne le sourire reste bien souvent installé. En souriant, on a gagné en bonne humeur. Pas étonnant que les auditeurs l'aient entendu !
J'évoque souvent cet exemple dans mes accompagnements.
Y travailler en coaching
Par exemple pour mettre en garde les jeunes en recherche d'emploi : préparez-vous avant de téléphoner et surtout ne répondez pas au téléphone si vous êtes encore au lit en fin de matinée. Ça s'entend !
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Tandis que l'aspiration à être heureux progresse partout dans le monde, le désenchantement n'a jamais été aussi grand. Pour transformer la situation, Olivier Berut* propose de suivre les étapes de l'alchimie :
l'œuvre au noir, l'œuvre au blanc, l'œuvre au rouge.
L'œuvre au noir
C'est le désenchantement face aux ruptures écologique, digitale, économique, de la complexité et du sens.
Face à ce constat, les trois principales tentations sont :
- la peur (tendance à mettre la tête dans le sable)
- le cynisme (tendance à profiter)
- l'égoïsme (recherche de distraction)
Remarquons que ce ne sont ni plus ni moins que les trois ennemis de toujours dans chacune des cultures.
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Grégoire Jeanmonod* est passionné de peinture et c'est donc tout naturellement qu'il illustre l'art du collectif au travers de morceaux choisis de l'histoire de la peinture.
De fait, si l'artiste est solitaire dans sa création, il est très entouré avant (d'un réseau) et après (d'une équipe).
Première leçon avec une toile à quatre mains d'Andy Warhol et Jean-Michel Basquiat :
chacun des artistes est resté lui-même, c'est la tension entre les deux qui a fait le chef d'œuvre. Sortons de la concurrence pour entrer dans la complémentarité.
Reconnaissons nos forces et celles des autres
Deuxième leçon avec une école d'art remarquable, le Bauhaus. Sa créativité découle de principes fondateurs :
« faire du jeu une fête, d'une fête un travail, du travail un jeu ».
Valorisons les temps informels
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J'avais reçu un appel totalement inattendu, une invitation à entreprendre une démarche qui représentait un engagement conséquent et dans la durée.
Je ne m'y reconnaissais pas du tout. Je ne comprenais pas du tout dans quel but.
Oser la confiance
Pourtant je percevais que c'était un appel de la vie, alors j'ai décidé de faire confiance. J'ai répondu favorablement et tout mis en place pour démarrer.
Il restait un mois avant que cela ne se concrétise.
Curieuse période où j'étais tout à la fois heureuse de l'invitation reçue et de la confiance avec laquelle j'y répondais et complètement vide d'énergie, épuisée physiquement, incapable du moindre signe d'enthousiasme.
L'image qui me vient est celle du reflux de la vague. Elle va repartir à l'assaut de la plage : en surface l'eau semble déjà prête mais au raz du sable elle fuit encore sous la surface.
Ce que j'en ai compris ?
Une part de moi ne savait pas y croire : trop inconnu.