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Je m'en amuse à chaque fin d'accompagnement :
au moment de partir la personne est émue, elle me salue avec beaucoup d'effusion, poignée de main appuyée, regard soutenu... et immanquablement vient la promesse de me donner des nouvelles.
Je suis touchée de ce qui se passe pour elle :
elle est contente du chemin parcouru, elle mesure combien l'accompagnement a été précieux pour en arriver là. Elle est pleine de gratitude et cherche à manifester sa reconnaissance.
Reconnaissance du chemin parcouru
J'apprécie ce moment chaleureux : je suis contente pour elle, pour sa confiance retrouvée dans l'avenir.
Tout le mérite lui revient : celui d'avoir espéré mieux pour elle-même, d'avoir osé solliciter de l'aide, de s'être laissée accompagner et maintenant d'apprécier le changement.
Tout le mérite lui revient et la suite lui appartient.
Je sais par expérience qu'elle ne me donnera pas de nouvelles. C'est normal : j'étais là pour l'aider à retrouver sa pleine autonomie, un moment à ses côtés.
Tandis qu'elle repart confiante, je m'efface derrière elle.
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Renée Rivest* nous invita à fermer les yeux et à visualiser une belle prairie fleurie.
Elle nous fit remarquer qu'elle était en pente et nous proposa de nous mettre en chemin vers le sommet. Là-haut, la vue devait être grandiose et elle nous incita à presser le pas.
Elle nous poussa à courir, de plus en plus vite. Tout en haut c'était une falaise, elle nous exhorta à sauter !
Après quelques secondes de silence, elle nous proposa d'ouvrir les yeux et pris le temps d'accueillir ce que nous venions de vivre.
Tout le monde avait-il sauté ? Non, quelques-uns avaient refusé.
Que s'était-il passé pour les autres ? Ils avaient ouvert leur parachute, d'autres s'étaient découvert des ailes... Moi je tombais encore et je trouvais qu'elle était gonflée de nous pousser de la sorte !
De fait, la conférencière cherchait à nous inciter au courage d'affronter les émotions.
Elle interrogea encore : certains sont-ils morts ? Oui. Est-ce grave ? Non.
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Comment faire lorsque lorsque quelque chose ou quelqu'un nous résiste ?
Peut-être faut-il commencer par regarder comment nous nous y prenons toujours de la même manière, en espérant un résultat différent !
J'ai beaucoup aimé entendre Maximilien Brabec* sur ce sujet. Il était venu nous parler d'innovation et il tenait à nous faire comprendre que nos connaissances nous empêchent d'innover. Alors il relata une expérience : celle de la mouche et de l'abeille.
Imaginez un tube dans lequel on fait entrer une abeille. Très vite l'abeille apprend qu'il y a une sortie à l'autre bout pour s'échapper et dès, qu'on la fait entrer dans le tube, elle file vers la sortie.
Lorsque l'on réalise la même expérience avec une mouche, elle vole en tout sens, se cogne partout et, tout à fait par hasard, finit par arriver à la sortie. Lorsqu'on renouvelle l'expérience, tout se passe de la même manière. Elle n'apprend pas mais finit toujours par sortir.
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Fin 2014
Je prenais un virage professionnel. C'était le moment d'oser me lancer pour accomplir ce que je savais être ma mission : accompagner.
Je quittais mon emploi et je partais à l'aventure de la création d'entreprise.
Je vous souhaitais la bienvenue sur ce blog avec l'idée d'y témoigner de ma transformation et de ce qui me passionne dans mon métier.
Cinq ans déjà
... et je me réjouis chaque jour de ce qui advient : ce que j'avais imaginé et aussi tout ce qui s'est présenté en bonus, que je n'osais espérer.
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Ce n'est pas votre genre mais c'est plus fort que vous :
- à chaque fois que vous apercevez une araignée vous sautez en l'air
- dès que vous rencontrez cette personne, vous avez la boule au ventre
- à chaque fois que vous passez par là, vous êtes sur le qui-vive
Pourtant ce n'est pas votre genre ! Juste une phobie...
Cette réaction irrépressible
Et si vous preniez le temps d'un Switch pour vous débarrasser de ça ?
Qu'est-ce qu'un Switch ?