Pont-à-Mousson, Nancy, Metz et à distance
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Comment avez-vous choisi votre métier ?
Personnellement, je savais déjà que mon choix initial correspondait à ce que j'avais cru comprendre qu'on attendait de moi.
Par la suite lors de mon changement de cap, j'avais bien noté que je mettais à profit de nouvelles qualités cultivées dans ma famille. De là à en tirer des généralités...
Le "cadre du père"
Pourtant il semble bien qu'il faille admettre une influence significative de notre histoire sur nos choix professionnels, et même qu'elle soit structurante pour nos débuts : nous serions contraints, pour notre premier métier, de passer par le cadre du père*.
C'est-à-dire ? De nous conformer à ce que notre père attend de nous... ou ce que nous croyons qu'il attend de nous, ou ce que l'on nous a dit qu'il attendait de nous, ou ce qu'il aurait dit qu'il attendait de nous si nous l'avions connu, ou...
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Ça y est, me voici prête pour accompagner les ados dans leur recherche d'orientation.
Je reviens d'une formation spécifique sur ce thème, chez Elevatio à Paris. Super !
Apprendre à se connaître
Pendant 4 jours, j'ai fait le plein d'outils pour aider la jeune génération dans sa réflexion et ses choix : des outils variés, ludiques, créatifs, un vrai plaisir !
Mais surtout, j'ai été emballée par les témoignages des formatrices qui accompagnent jusqu'à 20 jeunes en parallèle. Oui, moyennant 6 séances de coaching (et du travail entre deux !), les jeunes repartent vraiment avec un projet qui les motive, un métier pour lequel ils sont prêts à s'investir dans des études.
S'imaginer dans le futur
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Ma fille m'interrogeait récemment : "Comment convaincre un ami qui a des soucis de recourir à des méthodes dont je suis sûre qu'elles l'aideraient ?"
Bonne question. Je me rappelle avoir essayé moi-même de convaincre de la sorte... et je crois bien que j'essaie parfois encore, ou en tout cas ça me démange !
Se faire accompagner
Oui mais voilà, chacun doit trouver lui-même ce qui lui convient, et une méthode, aussi bonne soit-elle, ne peut pas convenir à tout le monde.
Cela m'a ramenée quelques temps en arrière.
J'expliquais à une amie mon projet de devenir coach, lui décrivant en quoi cela consistait : aider la personne à trouver elle-même ses propres solutions pour atteindre ses objectifs.
Et elle de s'exclamer : "Ah oui, c'est bien ça, pour les non-croyants !" Elle parlait d'elle bien sûr, de ses réticences à tout ce qui ne lui semble pas rationnel.
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Pour asseoir mon projet, je m'étais défini un plan de formation.
J'avais pris beaucoup de soin pour choisir les programmes et les organismes et je dois dire que je suis très satisfaite : tout ce que j'ai commencé est de très bonne qualité et j'y prends beaucoup de plaisir.
Des formations...
Voici les formations que je recommande :
- pour apprendre le métier de coach (Dimension coach, chez Agileom à Strasbourg)
- pour devenir praticienne PNL (chez Indépendance Way à Bar-le-Duc)
- pour apprendre à conduire des bilans de compétences (Le bilan de compétences, au Patio à Paris)
J'espère vous recommander prochainement celle-ci aussi :
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Permettez que je vous partage la réussite de mon premier coaching.
Mon client cherchait un emploi et il vient d'en décrocher un qui lui plaît beaucoup. Bien sûr il s'en réjouit, et moi avec, mais ce n'est pas cela dont je veux vous parler. Cette réussite lui appartient.
Le coaching n'est pas du conseil
Ce que j'ai envie de vous raconter, c'est ce pour quoi il m'a remerciée :
Tu ne m'as pas donné de conseil. Tu m'as juste permis de découvrir ce qu'il me fallait, par moi-même. J'ai appliqué ce que j'avais compris et ça a marché !
Illustration à la fin de notre dernière séance de coaching :
Tu vois, tout à l'heure, j'ai commencé un schéma sur ma feuille. C'est typiquement comme ça que je réfléchis. C'est donc que j'ai compris : c'est moi qui ai la solution. Maintenant je saurai terminer tout seul.
