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Nous aspirons tous à des relations vraies, profondes, fécondes, fluides.
Nous recherchons tous un profond contentement, en nous-même, en relation avec les autres, en relation avec la vie, un état de paix de plus en plus stable, transportable à travers les épreuves, contagieux.
Retrouver notre élan de vie
Nous avions cet élan de vie propre au départ, mais nous avons progressivement dévié (pour être gentils !*) et nous sommes trop souvent dans des ENFER...mements.
Comment pouvons-nous revenir à notre élan de vie ?
Sortir de nos pièges
En prenant conscience des pièges dans lesquels nous sommes pris, en comprenant comment ils se sont enclenchés... et en nous efforçant d'en sortir.
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L'expression peut surprendre et pourtant c'est vrai, nous avons des stratégies pour échouer !
Songez à cette activité que vous n'aimez pas du tout. Avant même de vous y mettre, vous savez que vous n'allez pas y arriver. Demandez à vos proches, ils ont peut-être déjà remarqué comment vous vous y prenez pour qu'effectivement ça ne marche pas !
Reconnaître et analyser nos stratégies
Plus sérieusement, lorsqu'on a envie de sortir de son impasse, on peut se faire aider pour analyser en détail la façon dont on procède pour échouer, puis comparer avec une stratégie qui, dans un autre domaine, nous conduit à la réussite. Il apparaît clairement des pistes pour modifier son comportement.
Vous attendez mon exemple ?
Les personnes qui m'ont accompagnée quand j'ai testé cette méthode s'en rappellent encore : j'avais si bien expliqué comment je faisais pour brûler les légumes que je n'aime pas... qu'elles s'étaient promises de ne jamais se laisser inviter !
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Connaissez-vous quelques-unes de vos stratégies personnelles ?
Lorsque je dois entreprendre quelque chose, je commence par mettre de l'ordre : je range ce qui encombre l'espace, je traite ce qui occupe mon esprit...
La plupart du temps c'est juste une habitude, une bonne habitude, n'est-ce pas ?
D'autre fois, j'ai l'impression que je n'en finis pas d'avoir encore des choses à mettre en ordre. Ne serais-je pas en train de jouer la montre ?
Je vois bien que j'ai du mal à m'y mettre. Et en même temps je sais d'expérience que je vais finir par me lancer. Alors je m'accorde ce plaisir de faire place nette...
Nos stratégies nous sont personnelles
Je savais déjà que si cette stratégie m'est profitable, elle ne l'est pas forcément pour tout le monde.
Il y a bien longtemps, j'ai connu quelqu'un pour qui c'était tout l'inverse. Il suffisait de lui imposer de tout ranger pour qu'il en perde ses moyens.
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J'ai déjà évoqué dans un précédent billet l'importance de disposer d'au moins trois options pour se sentir libre de choisir.
Trop de choix met dans l'inconfort
A l'inverse, quand on dit avoir l'embarras du choix ce n'est pas toujours pour se féliciter d'une certaine profusion, c'est parfois réellement pour témoigner d'un inconfort.
Après avoir longuement hésité devant le rayon, l'une rapportera toujours la même chose, l'autre rentrera les mains vides. Ils apprécieront le panier de légumes locaux et solidaires auquel ils se sont abonnés. En effet, il ne laisse d'autre choix que de chercher comment accommoder ce qu'on y trouve !
Bien plus, un trop grand nombre de possibilités peut réellement mettre en difficulté.
Il y a un peu de cela dans le malaise que vivent certains jeunes face à la question de l'orientation :
- « Il y a plein de métiers qui me plaisent mais je n'ai envie de renoncer à aucun. »
- « A force de m'intéresser à tout ce qui existe, je ne sais plus de quoi j'ai envie. »
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Certains aiment-ils plus le changement que d'autres ?
Personnellement j'ai remarqué très tôt qu'il n'est pas facile à envisager, qu'il faut du temps pour en reconnaître le besoin, rassembler son courage et passer à l'action... un certain temps !
De l'inconfort au désir de changement
Au sein de cette joyeuse bande d'amis qui se réunissait chaque semaine pour chanter, j'ai observé plusieurs fois le même processus : une personne prenait moins de plaisir à nos rencontres.
S'en rendait-elle compte ? Cela transparaissait dans son comportement : moins d'enthousiasme, plus de critiques. Entre les premiers signaux et le départ, toujours la même durée. Surprenant !